La littérature contemporaine française, c’est bien connu, c’est de la daube. Daube en poche, daube en album, daube en blanche, daube toujours. De toute façon, depuis Flaubert, ça n’allait pas très fort, mais alors depuis Proust, Céline, elle a chuté, chuté… pour en arriver là où elle en est aujourd’hui, de la daube on vous ...